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| Graham Alexander Lancaster Nous ne pouvons choisir l’heure de notre mort, mais nous pouvons décider comment aller à sa rencontre. identity cardnom(s) Comme un relent de chevalerie dans un nom teinté d'une noblesse oubliée. Il fut, dans un passé désormais lointain, la marque d'un sang bleu dont il ne reste désormais plus qu'un vestige oublié. Bâtard à jamais d'une lignée défunte. Éclat d'un sang qui brille des principes du temps jadis, et dont le verset religieusement munificent se tarie dans les veines d'une famille éclatée. Lancaster. prénom(s) Ils roulent sur la langue, délicats autant qu'indécents, tandis que l'amante éperdue se love sur les chairs alanguies. Souffle extatique qui se cogne contre les dents, et se meurt sur les lèvres. Graham. Le premier est aussi fort qu'il est impétueux. Alexander. Tandis que le second sur fait conquérant d'une noblesse de cœur plus que de corps. Charmes édulcorés pour les yeux envoûtés, il se drape d'une dignité sauvage alors que ses lèvres se referment sur un baiser de brasiers. surnom(s) Il n'est d'autres noms que celui qu'il a hérité de ses parents et de sa fonction. L'homme abhorre les surnoms, se demandant sans cesse à quoi bon avoir un prénom s'il n'est fait que pour être la victime, lacérée, des quolibets et des réductions outrageantes. Nul surnom n'est alors permis. Nul qualificatif ne lui est soumis. nom de code Chevalier parmi les lions dévêtu de son armure et revêtant le costume savamment damassé pour ne faire qu'un avec ce monde habité de faux-semblants. Yvain. âgeUne vis courte, à peine plus qu'une bouffée d'air et il suffoque déjà, rejetant ce qui est en lui et fait ce qu'il est aujourd'hui. Vingt-neuf années à espérer pouvoir avoir une vie normale, une de ces vies que l'on imagine belle et un peu banale, une de ces vies où il aurait pu se marier, avoir des enfants pour mieux vieillir au coin du feu. Vingt-neuf années à espérer, et presque une décennie déjà passée à courir le monde pour mieux déjouer les aléas d'un temps imparti. Il n'est plus. Il n'existe plus. Il n'est qu'un rouage utile au destin d'une patrie. Finies les prières. Oubliées les incantations. Il faut désormais apprendre à mourir. date et lieu de naissance Se souvient-il de la haie des rosiers anglais qui bordait le chemin qui menait à l'école ? Se souvient-il de leur parfum qui embaumait les matins de printemps ? Ce sont ces mêmes roses qui sont devenues les symbole de cette ville où il a grandit. Elle étaient l'image même du renouveau de la vie, et elle par prendre le doucereux parfum de la mort. Doncaster. Il y aura vécu toute son enfance, il y aura caché les larmes qui survinrent à la mort de l'être tant aimé, et en aura pleuré les dernières de douleur. Elle l'aura vu naître le vingt-cinq juin. Elle l'aura vu prier et maudire à jamais dans le parfum lugubre de ces roses. orientation sexuelle Au diable les préférences. Il ne se reconnaît d'aucune sexualité en particulier, se décidant juste à s'offrir les plaisirs de chacun, s'offrant ainsi le luxe d'une pansexualité crue et teintée d'un libertinage acéré. statut civil Les rêves n'ont d'égales que la désillusions du réveil. Vivre une vie idyllique comme celle que l'on affichait outrageusement devant ces yeux. La petite famille parfaite dans sa petite maison avec un quotidien plan-plan, ennuyeuse mais tellement reposante pour quelqu'un tel que lui. Seulement dans sa vie à lui, ce qui ressemblait le plus à cette vie de famille c'était l'image qui passait à la télévision ou la photo abîmée d'un passé révolu. Enterré. Ces images qu'il a fini par refuser de regarder pour ne plus s'enfoncer dans la solitude de son existence. Célibataire. poste chez les kingsman Secret d'état, ou état de secrets, rien ne lui échappe et il est au fait de tous les murmures. Assassin au coeur des complots, il n'obéit néanmoins à aucun état si ce n'est celui de son agence, et ne fait que maintenir une paix relative par le biais d'un calcule meurtrier. Agent de terrain. statut financier Le meurtre et la sauvegarde de la paix dans un monde perpétuellement sur la brèche ont le privilège d'être plus que bien payer. Mais a quel prix? N'y a t'il rien de plus onéreux que l'existence échangée? Peu importe. Peu lui importe. Aisé. caractère sérieux × concentré × sarcastique × charmeur × extraverti × têtu × fier × anxieux × nerveux × pragmatique × menteur × adroit × entrainé × précis × taquin some important things to know 01.Il ne porte pas de noir, ou très rarement. Cette teinte monochromatique lui est semblable au deuil, à celle-ci il préfère de loin le bleu marine qui souligne tant la couleur de ses yeux. 02. Il ne fume pas, et les rares fois où il a été obligé de s'y mettre pour rentrer dans un rôle, il a trouvé ça plus qu'infernal et écœurant. 03. Bien qu'il soit doué avec toute type d'arme à feu, il préfère de loin les armes blanches. L'exécution silencieuse et sanglante est de son point de vu bien plus propre et extasiante que la froideur d'un coup de feu. 04. Il court tous les matins alors que l'aube n'est pas encore levé. C'est une façon pour lui de s'aérer l'esprit tout en restant en forme même durant le temps de paix apparente. 05. Il possède un chien qui répond au doux nom de Lasagne. C'est un corgi âgé de onze ans qui reste très actif malgré son grand âge. 06. Il laisse souvent pousser ses cheveux, pas tellement parce qu'il aime ça, mais surtout parce qu'il manque de temps et de patiences pour se rendre chez le barbier. 07. Bien qu'il soit anglais il cultive une aversion toute particulière pour le thé. Pour lui, il ne s'agit que d'eau chaude ayant un arrière goût de paille. 08. Bien qu'il ai reçu une éducation protestante, il ne croit pas en dieu. Les idoles en l'intéressent pas, il est un peu trop pragmatique pour tout ça. 10. Bien qu'il fasse parti des Kingsmen, c'est un adepte de la malbouffe. De ce fait, il préférera toujours une bonne part de pizza à une assiette presque vide d'un grand restaurant.
the interviewComment as-tu été recruté(e) dans cette agence? Destinée bâtarde qui s’élève sur les souffles moribond d'un père à jamais effacé, et c'est dans l'horizon lointain que se dessine la silhouette tant adorée d'un autre disparu. Il revient de loin, âme en perdition rattrapée par le funeste destin d'une famille à la dérive, et assiste , malheureux, à la déchéance d'une lignée. Il pleure un instant le décès de son frère, il se laisse aller à la tristesse tandis que l’éphémère achève sa vie, et déjà l'idée fait son chemin alors que l'enfant déversa sa peine dans une rage sans bornes. Dès lors, regard lointain perdu dans un avenir incertain, que l'enfant avait un avenir, qu'il devrait cultiver cette force insatiable qui le rongeait jusqu'à la moelle. Dix ans. Dix années passées à l'observer partir à la dérive d'un avenir prodigieux, s’enquérant d'une carrière à la marge de son possible. Prodige égaré ramené sur les sentiers de la gloire par cette silhouette toujours trop lointaine soudainement devenue l'ombre d'un père disparu. Il était l'oncle, il était son deuxième père, il fut celui qui devint son mentor, et bientôt le reflet d'une confiance sans égard. Tu es agent depuis longtemps ? Raconte nous ta plus grande mission ? Et si tu ne l'es pas depuis très longtemps, qu'est-ce qui t'as plus marqué dans ta formation ? Onze années. Onze courtes années. Il n'en avait rien vu passer, et depuis sa si jeune majorité il n'avait eu de cesse de traverser le monde de part en part, encore et encore. Les débuts avaient été pourtant si difficiles, devoir se plier à une hiérarchie, à des heures indues, et à apprendre à devenir ce qu'il était désormais. Changements radicaux qui lui allaient désormais à ravir. Néanmoins même les plus beaux costumes, et les gadgets les plus collaborés ne pouvaient être d'un grand recours face à quelques péripéties montées de mains de maître. De cette mission au cœur de l'Ouganda, il n'en retenait que des bribes mortelles, de celles qui marquaient encore son corps de quelques cicatrices. Profondes. Marque d'un échec cuisant encré dans ses chairs lacérées. Elle est là, sa mission la plus importante, et pourtant il n'en garde que les vestiges d'un dossier qui le hante sans qu'il ose vraiment le relire sans en éprouver de vagues élans nauséeux. Tout s'enchaîne en une macabre suite d'images, funestes pellicule grattée et trop abîmée pour qu'il en résulte quelque chose de vivace, mais le sang est là. S'écoulant vivement des corps décharnés de ces pauvres femmes abandonnés à leur sort. Une balle. Une deuxième perforante. Il en a le souffle coupé. La troisième le traverse de part en part, et il tombe, plus aucun air n'entre dans ses poumons. Sa vue se trouble. C'est pour lui une fin imminente qui ne lui sera arrachée que par les caprices d'un destin qui n'en avait pas encore terminé avec lui. Les kingsman ont un grand nombre de gadget. Tu dois bien avoir un préféré, non ? C'est lequel ? L'apanage du bon Kingsman a toujours été un costume impeccable, et une certaine panoplie de gadget en tout genre. Des plus incongrus aux plus ingénieux. Il en fut néanmoins un qui réussit à capter l'attention de Graham bien plus que les autres : les lunettes. Si, au premier abord, il fut plutôt sceptique, il ne peut désormais plus s'en passer. Les fonctionnalités de celles-ci ont bien sûr n'eut de cesse d’évoluer en une décennie, se complexifiant dans leur utilisation de certains système à l'origine inné, mais peu lui importe. Il trouve, désormais et pour encore de nombreuses années certainement, qu'elles sont l'outil le plus utile à un Kingsman en mission, surtout qu'elles passent bien plus inaperçu qu'un parapluie. Il y a peu de temps, les agents du S.H.I.E.L.D ont fait leur apparition à Londres, soit disant pour s'occuper des cas des méta-humains, tu en pense quoi de tout ça, le S.H.I.E.L.D, les méta-humains ? Empreint d'un esprit vindicatif à l'égard de l'Amérique, et inscrit dans une certaine idéologie d'une Angleterre, plus encore d'une Europe, forte, il n'est pas si étonnant que cela de le voir porter une regard désapprobateur vis à vis du S.H.I.E.L.D. A dire vrai, il se demande bien comment des une organisation aussi désorganisée et incapables de maintenir un minimum d'anonymat sur le moindre de ses actes peut encore exister. Déchéance populaire, et ratés enchaînés, voilà qu'apparaisse sous leur égide les méta-humains. Tout devient leur faute. Tout est d'ailleurs de leur faute. Et quand bien même il chercherait à la résorber, il sait, d'une façon ou d'une autre, que cela n'apportera que plus de problème encore à cause de leur méthodes américaines, sans subtilité, sans classe, rien que de l'éclat mortel et figuratif.
behind the screenpseudo, prénom Mauu' âge. Vingt cinq petites années. région, pays France! French People! comment as-tu connus le forum Par la publicité de miss Appo'! tes impressions sur le forum Et bien ma foi, il est fort bien sinon je ne serais pas ici, non?! le mot de la fin Elle est où la poulette? - Code:
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<pris>célébrité</pris> ; <a href="http://heavycrown.forumactif.org/u61">Graham A. Lancaster</a> La maladie c’est comme la mort c’est un fait c’est pas une punition. Certains naissent avec cet éclat, naturel et qui ne fait que grandir ; illuminant presque leur entourage d'une joie de vivre resplendissante. Ils rient, ils jouent, ils crient, ils vivent comme s'il n'y avait pas de lendemain, ne se souciant que trop peu de ce qu'il leur adviendrait s'il venait à chuter. Tout ce qui compte c'est l'instant présent, oubliant l'avenir sans se forger dans le passé. Tout ce qui compte c'est ce qui doit être vécu. Et il fut cet enfant, il a ri, il a partagé de ces moments de complicités avec d'autres, il a couru, il a jour, il s'est amusé, puis il est tombé. Tombé si lourdement, si durement, qu'il n'a jamais vraiment pu s'en relever, et lentement son monde s'est effondré pour le laisser éperdu dans cette solitude navrante. Ils sont partis ne laissant pas la même la trace d'une ombre, ne laissant derrière eux que quelques plumes de corbeaux balayées par les quatre vents. La fin d'une vie, l'odeur aseptiser de l'hôpital. Partout, l'odeur de la mort. Tout les rebuter autant chez eux, incapable de soutenir le regard endeuillés des enfants délaissés. Surtout chez lui, cet enfant aux allures nonchalantes habités de maintes colères décriées. Courage attrapé à la louche pas un oncle ressorti de son placard, extirpé des limbes d'un souvenir lointain. Il offrait au jeune garçon bien plus qu'à ses sœurs sans que celui-ci n'en sache rien. Simple étiquette sur laquelle était inscrite à la machine à écrire un numéro de téléphone suivi d'une maxime. Si le temps avait effacé la maxime et le numéro qui était inscrit sur le petit encart cartonné, la mémoire de l'enfant puis de l'adolescent, s'était vue marquée par cet événement. Comme un incident de moindre mesure qui allait à jamais changer une vie, un battement d'aile de l’éphémère avant de tomber dans les tempête de l'éternité. L'idée resta encrée, et le gamin se mit à grandir sans père, assiégé par les problèmes d'une famille qu'il regardait avec tendresse et pour laquelle il agissait avec maladresse. De l'air, toujours plus d'air, c'était ce qu'il réclamait, mais toujours on le faisant mortellement expiré à force de réplique savamment dosées. « C'est toi l'homme de la famille maintenant. ». Et jamais personne à aucun moment ne se disait alors que ces simples mots pouvaient être une maladie, un cancer monstrueux, qui rongerait l'âme éperdue d'un garçon à la dérive de ses sentiments. Solitude égrainée, il se laissait aller au spleen autant qu'à l'idéal. Regardant de haut le monde qui s'écoulait en bas. Au bord d'un brèche fumante et menaçante, il observait silencieusement sa vie s'écouler sans en être l'accord majeur, se laissant bercer par la mélodie funeste d'une existence lente et sans passion. Il avait dix huit ans, et déjà presque dix années s'étaient écoulées en le laissant orphelin d'un père. Orphelin d'une vie. Toujours, il entendait ses sœurs parler, jamais il ne les écoutait vraiment. Il se contentait, dodelinant de la tête, de végéter sur ce balcon, observateur lasse d'une vie sans intérêt. Et parfois, il se demandait avec une certaine langueur attristée à quoi pourrait bien ressembler le monde sans lui... A quoi pouvait bien ressembler le monde au-delà de sa vie. Alors, pour la première fois en dix ans, il composa le numéro gravé dans sa mémoire, et les mots transparurent au travers du souvenir abandonné par son oncle. Graham ne promettait jamais rien, il ne faisait pas plus de plans pour une vie future, il se contentait de vivre tout en passant de missions en missions. C'était ce que son oncle lui avait conseillé alors qu'il l'avait enlevé à cette vie ennuyeuse qui l'aurait assurément conduit à la ruine. Il lui avait ainsi dit qu'il n'y avait rien de pire que de vivre dans le mensonge, pas le leur car il en faisait partie intégrante de leur existence, mais dans celui qu'ils offraient aux autres. La promesse était un engagement qu'ils ne pourraient jamais tenir, pas plus qu'ils ne pourraient s'adonner aux réels engagements de l'avenir. Ainsi, d'un revers de la main, le mentor avait balayé toutes les envies naïves d'un jour avoir une femme, des enfants, et tout autres choses de ce type. Juste par sécurité. Ce n'était, bien sûr, pas du goût de tous, chacun se montrait être libre de ses choix, mais Graham fut réceptif à ce message. Être l'écorché d'une famille, l'orphelin délaissé entre les mains d'une mère éplorée, vivre sans vivre vraiment, tout cela il l'avait déjà éprouvé et n'avait pas la moindre envie de le faire ressentir. Coup de canif a ce contrat aussi silencieux qu'il était muet de ses sentiments. Jolie boucle d'or attrapée au détour d'une ruelle, suffocante et titubante, ce faisant l'accroche cœur d'un être éperdu. Que faisait-il cette nuit là ici-bas ? Le souvenir s'enfuit sous le regard envoûtant de la belle pas si ingénue que cela. Elle s'accroche et déverse sur lui une tendresse enjolivée par les fées vertueuses d'un alcool qui s'écoule dans ses veines, et les pupilles dilatées sous l'éclat de la lune ne font que montre d'une envie qui sommeille en son ventre. Ultime caresse sous les toits d'une ville endormie, et dans un souffle elle lui décoche une promesse qu'il accueille avec autant d'égarement que d'amusement. Il ne devrait pas, Graham. Il devrait fermer les yeux et oublier, mais à chaque fois que ses paupières s'affaissent le visage s'inscrit un peu plus dans sa mémoire. Persistance rétinienne qui se fait diabolique et creuse le manque au creux d'une vie désespérément vide d'un quelque chose qu'il refuse de s'accorder. Il n'oublie pourtant pas, et tourne en rond de longues heures durant, puis fini par prendre cette décision. La main sur le téléphone, il hésite un peu, juste un peu encore, avant d'enfin se lancer. Elle ne sait pas. Elle ne saura peut être jamais, mais il a besoin de cette compagnie juste le temps d'un instant, et rien n'est alors mieux que cet instant qui s'y prête. Parfait alignement des étoiles, imparfaite situation qui le met au pied du mur. Sans réalisé, vraiment, il se jette dans la gueule du loup. Sans pouvoir vraiment ouvrir les yeux, il s'élance dans sa propre perte. Il nage en eau trouble tandis que la voix de cette autre résonne dans sa tête et que la sienne s'en fait écho. C'est la fin d'une chose, le début d'une autre, le chaos infini de son existence.
Dernière édition par Graham A. Lancaster le Lun 22 Juin - 14:07, édité 19 fois |
| | | arrivé(e) à londres le : 14/06/2015
messages : 261
pouvoir : Contrôle des rêves
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| Welcoooooome ! Je connais quelqu'un qui va être heureuse que tu prennes son scénar x). Bon courage pour ta fiche, j'ai hâte de voir ce que tu vas faire de ce perso ! A plus ! |
| | | arrivé(e) à londres le : 14/06/2015
messages : 299
pseudo chez les kingsman : Uther
Age : 29
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| Bienvenue ! Super choix de scénario ! |
| | | arrivé(e) à londres le : 02/04/2015
messages : 177
pouvoir : illusion, elle rentre dans votre tête pour y mettre les images qu'elle souhaite
| | | | arrivé(e) à londres le : 06/06/2015
messages : 273
pseudo chez les kingsman : Galahad
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| Hey ! Bienvenue parmi nous C'est Poppo qui doit être heureuse de voir que sa campagne de pub à été utile ! Bon courage pour ta fiche et au plaisir de te recroiser sur le forum ! *Laisse des cookies et disparaît derrière son parapluie magique* |
| | | arrivé(e) à londres le : 05/06/2015
messages : 76
pseudo chez les kingsman : gareth
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| bienvenue sur le forum! |
| | | arrivé(e) à londres le : 09/03/2014
messages : 750
pseudo chez les kingsman : Perceval
| | | | arrivé(e) à londres le : 21/05/2015
messages : 134
position au s.h.i.e.l.d : agent de terrain de niveau cinq
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| aaron, il déchire tout. bienvenue parmi nous bn courage pour ta fiche et n'hésite pas si tu as des questions. |
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| Merci à tout le monde! Désolée, je suis un peu en retard, mais c'est mon dernier jour de boulot avant les vacances alors je suis un peu surchargée! Je finis au plus vite cette fiche (même que sur word je suis déjà à un tiers de l'histoire), ne vous inquiétez pas, je suis pas morte! |
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| Oh Jolie jeune fille! Je viendrais te demander un lien! |
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| Avec plaisir |
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| Bon, ce n'est pas la meilleure de toutes mes fiches, mais elle est enfin terminée! Damn, ce fut dur! |
| | | arrivé(e) à londres le : 14/06/2015
messages : 299
pseudo chez les kingsman : Uther
Age : 29
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| Je pense que je n'auras pas pu rêver mieux Tu as vraiment compris le personnage de Graham et tu te l'es parfaitement appropriée Je n'ai rien à redire sur cette fiche, franchement. Elle est parfaite selon moi, tout est bon pour moi
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| | | arrivé(e) à londres le : 09/03/2014
messages : 750
pseudo chez les kingsman : Perceval
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| félicitation, tu es validé(e) perfection
Félicitation, tu as terminé la première étape. A présent, tu es libre de vagabonder dans le forum. Tu peux à présent crée des scénarios ou alors d' autres liens pour ton personnage. Tu peux aller aussi à créer ta fiche de lien pour que ton personnage se sociabilise un peu. Si tu veux rp, mais tu ne trouves pas de partenaire ? Viens un peu là, ça va s'arranger. Viens aussi faire ta demande de logement, parce que ton personnage ne doit pas être sans abri, mais aussi recenser ton métier. Pour les kingsman, il est important de venir ici et pour les agents du S.H.I.E.L.D, c'est par là. Quant aux méta-humains, il faut passer par le recensement de leur don. Oh, et puis il ne faut pas oublier de s'amuser un peu. |
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