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we used to have it all planed ∞ Neal & Appoline

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sweet innocent people
L. Appoline Borthwick
L. Appoline Borthwick
arrivé(e) à londres le : 14/06/2015

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pseudo chez les kingsman : Uther

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Mar 16 Juin - 17:45


All Hell breaks loose
Neal & Appoline


Les battements de ton cœur étaient bien trop rapides pour être normaux, malgré l'air calme que tu t'efforçais d'afficher. La faute à l'adrénaline qui parcourait tes veines, sans le moindre doute. Mais en tout honnêteté, tu n'avais ni l'énergie ni le temps de te préoccuper des battements affolés de ton cœur dans ta cage thoracique. Ta respiration – quelque peu laborieuse après les efforts que tu avais dû fournir plus tôt – était déjà suffisamment difficile à gérer seule pour que tu te soucies de cela en plus. Tu levas le bras droit vers ton visage, jetant un coup d’œil rapide à ton poignet où se trouvait ta montre. 11 heure du soir. Une grimace crispa tes traits fins, tu reniflas distraitement. Ton regard se posa sur les corps inconscients des hommes contre lesquels tu t'étais battue quelques minutes auparavant et, sans perdre d'avantage de temps, tu enjambas les corps inanimés dans le but de sortir de la pièce. Tu glissas une main dans la poche gauche de ton costume, t'assurant que tu n'avais pas égaré la clef USB pour laquelle tu étais venue. Le petit objet contenait des informations importantes par rapport à un groupe d'américain semant le trouble sur le territoire anglais et Kingsman avait bien l'intention de mettre un terme à ces agissements. Tu avais donc été envoyée pour récupérer la fameuse clef et la ramener au quartier général.
Mais les choses ne s'étaient pas avérées aussi faciles que ce que tu avais pu croire. Oh, tu avais parfaitement conscience que toute personne saine d'esprit ne laisserait pas un tel objet sans surveillance. Mais tous ces gros malabars postés dans le bâtiment désaffecté pour un si petit objet … Il aurait suffit que quelqu'un la garde constamment sur elle, qu'un roulement soit mis en place pour que la clef ne soit jamais avec la même personne et qu'aucun adversaire ne puisse prévoir où serait la clef. Mais si personne n'avait penser à cela, tu n'allais pas t'en plaindre. C'était tout bénef' pour toi après tout. Néanmoins, les personnes désignées pour surveiller la source d'information n'étaient pas des manchots et, bien que tu sois plus rapide et plus souple, tu devais bien avouer que tu avais rencontré certaines difficultés à t'en débarrasser. Tu avais pris quelques coups, aussi. Notamment au niveau de la pommette qui, demain, sera certainement bleutée ainsi qu'à la mâchoire qui portera elle aussi un magnifique bleu. Tu passas une main sur ton visage, grimaçant sous l'effet de la douleur sourde. Mais tu ne tardas pas sur de tels détails ; tu auras le temps de panser tes blessures plus tard, maintenant il fallait que tu sortes de là. Tu déambulas dans les couloirs d'un pas pressé et sûr, rajustant tes lunettes sur le bout de ton nez juste avant de sortir du bâtiment.

L'air frais de la nuit te frappa violemment et, si Kingsman ne t'avait pas si bien préparée à contrôler tes réactions, tu aurais certainement reculé d'un pas avant de continuer ton chemin. Mais tu avais été fort bien entraînée, de ce fait tu ne clignas même pas des paupières, ignorant la sensation désagréable qui t'avait envahie. Tu tapotas la poche gauche de la veste de ton costume et un rictus étira le coin de tes lèvres alors que tu ricanas, fière de ton coup. Oh, oui, tu avais véritablement mené la mission à bien, tu en étais sûre et certaine. Quand bien même tu n'avais pas encore quitté le territoire de ce groupe d'empêcheurs de tourner en rond, tu ne pouvais pas t'empêcher de ressentir une certaine fierté, une sensation qui faisait gonfler ton ego de manière fort agréable. Tu te sentais comme une enfant à qui on aurait annoncé que la date de Noël avait été avancée. Un petit gloussement t'échappa bien malgré toi. Tu esquissas quelques pas de danse rapides, le cœur léger et l'esprit dénué de doutes. Oh, tu ne devrais pas te réjouir aussi rapidement, tu ne devrais pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué. Et si tu avais su ce qui allait se passer par la suite, tu ne te serais pas réjouie de la sorte, c'en était certain. Mais voilà ; tu ne savais pas et c'était là tout le problème.
Tu avais parcourus quelques mètres déjà, t'éloignant rapidement du bâtiment que tu avais quitté environ dix minutes plus tôt. Tu te dirigeais à présent vers les rues éclairées du quartier de l'est de Londres, certaine de t'en sortir sans plus de difficultés. Mais c'était sans compter sur l'entêtement des responsables du groupe que tu avais perturbé ce soir. Des bruits de pas précipités se firent entendre et, instinctivement, tu accéléras le pas. Merde, tu avais fêté ta victoire trop tôt. Tu te mis presque à courir, dans l'espoir de les semer mais encore une fois cela ne se passa pas comme prévu. Tu bifurquas sur la gauche et … Ô rage, Ô désespoir, tu te retrouvas face à une impasse, dans tous les sens du terme. Si tu avais eu un objet que tu pouvais casser sous la main, tu l'aurais certainement brisé en le lançant contre le sol dans un élan de frustration. Mais tu n'avais que la clef USB responsable de tous ces conflits sous la main et tu ne pouvais pas te permettre de l'abîmer ; Arthur te ferait passer un sale quart d'heure si les fichiers qu'elle contenait n'étaient plus lisibles par ta faute. Enfin. Tu fis de ton mieux pour ignorer ta frustration et tournas rapidement les talons pour faire face aux trois musclés qui se pressaient à l'entrée du cul-de-sac. Tu te forças à afficher un air aimable et innocent, te redressant de toute ta hauteur. Tu leur adressas un sourire plaisant. « Bonsoir messieurs, je peux vous aider d'une quelconque manière ? »

Et cette simple phrase suffit pour déchaîner l'Enfer ; les trois hommes s'avancèrent rapidement vers toi, mains tendues pour s'emparer de ta petite personne et récupérer ce qu'ils considéraient comme leur, mais tu ne leur laissas pas l'opportunité de t'attraper. Tu plias les jambes et partis vers l'avant, frappant l'un d'eux au niveau du thorax. Oh, tu n'allais pas te laisser faire, c'était certain.
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i am the impossible
Neal R. Windham
Neal R. Windham
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pouvoir : manipulation du vide (maitrise basse)

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Jeu 18 Juin - 16:28


WE USED TO HAVE IT ALL PLANED
Neal & Apolline

C ela faisait des mois que je n'étais pas sorti de chez moi pour faire autre chose que travailler, et même là je prenais que des petits boulots sans stress, depuis ce jour... je ne pouvais plus rien faire.

Seulement voilà, l’être humain a besoin de manger et même mon frigo commençait à me crier dessus qu'il avait faim, alors en avant pour la grande aventure ! Enfin la grande aventure c'est vite dit, juste acheter de quoi manger, mais pour un homme qui ne sort plus de chez lui cela devient vite un fait divers.

Après tant d'année passée au front je me retrouve à faire les courses avec une liste de produits bien précis et une peur panique qu'il se passe quelque chose de nouveau, si ce n'est pas une honte ça !

C'est donc dans ma routine la plus monotone que je marchais dans les rues avec les deux sacs plastiques dans les mains, déambulant comme monsieur tout le monde, je me demande si la vieillie femme de l'autre côté a un « pouvoir », ou si cet homme en jean/ t-shirt qui fait bien père de famille en banlieue a le don de tous nous tuer... tant de question, je ne suis plus sur de tous maintenant, je croyais avoir tout vus, je me suis bien trompé !

Au hasard d'une ruelle une femme suivie de trois hommes s’engouffrait à toute vitesse au travers des bâtiments.

Et merde ! Voilà pourquoi je ne voulais pas sortir ! Je m’empressais de les suivre pour savoir ce que voulaient ces hommes, et je m'imaginais le pire, une femme seule contre trois hommes, elle n'allait pas faire long feu.

Alors imaginez ma stupeur lorsque je suis arrivé et que j'ai vu qu'elle tenait tête à deux des hommes, qui pourtant ressemblaient fortement à de gros malabars.

Le troisième m’entendit arriver au pas de course encore charger de mes sacs plastiques pleins de nourritures.

Je lui balançais le premier sac dessus et sortais une bouteille d'eau du second en courant vers lui, arrivé a sa hauteur je lui lançais l'eau de la bouteille en pleine figure et profitais de l'avoir momentanément aveuglé pour lui donner un crochet dans le foie, une fois plié en deux je pris sa tête et lui donna un grand coup de genou en pleine poire.

Quand je me relevais la femme avait mis ses adversaires à terre, je regardais mes sacs au sol et pris un air dépité.

« voilà pourquoi je ne sors plus... »

copyright crackle bones
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sweet innocent people
L. Appoline Borthwick
L. Appoline Borthwick
arrivé(e) à londres le : 14/06/2015

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Ven 19 Juin - 14:13


All Hell breaks loose
Neal & Appoline


Tu savais que tu n'aurais pas dû savourer ta victoire trop tôt, tu savais que tu n'aurais pas dû te réjouir sitôt sortie du bâtiment désert. Tu le savais et pourtant tu n'avais pu t'empêcher de te saisir de cette impression de réussite et de te l'approprier jalousement, telle une enfant avec un nouveau jouet. Ça avait été plus fort que toi. Et voilà maintenant que le karma prenait sa revanche. Trois gardes que tu n'avais pas aperçu plus tôt t'avaient suivis et tu t'étais rapidement retrouvée face à un mur, dans tous les sens du terme. Dans ton empressement d'échapper aux trois musclés, tu t'étais engouffrée dans un cul de sac, ne remarquant cela que trop tard. Oh, ce que tu avais envie de te maudire, de te cogner la tête contre un mur pour ta bêtise. Tu regrettais tout ce que tu avais pu faire et penser depuis ta sortie du bâtiment. Mais au lieu de diriger cette énergie négative contre ta petite personne comme tu en avais tant envie, tu décidas de la retourner contre tes adversaires. Tu les provoquas doucement, leur adressant des mots doux et légers, comme si tu ne leur avais pas dérobé un objet de la plus haute importance quelques instants plus tôt. Un rictus moqueur, un air dédaigneux. Ça avait suffit pour que les trois costauds perdent leur calme et foncent dans le tas tête baissée.
Fort heureusement, tu avais été bien entraînée. La formation de Kingsman que tu avais reçue avait été dure et pénible, mais elle avait fini par porter ses fruits. Tes adversaires avaient beau faire deux têtes de plus que toi – chacun – et être trois fois plus large, tu ne paniquais pas. Tu gardais ton sang froid, examinant la situation avec un détachement froid et calculateur. Et lorsque l'un d'eux se rapprocha d'un peu trop près, tu fis un pas vers l'arrière, pivotant en même temps le haut de ton corps pour prendre de l'élan et … ton poing alla se fracasser contre l'os de la mâchoire du petit rigolo dans un bruit assez sinistre. Cela t'arracha un petit sourire malsain alors que fléchissais les jambes, basculant vers l'avant pour frapper l'autre qui semblait bien déterminé à t'écraser. Littéralement. Mais tu t'en fichais. Tu savais que tu pouvais t'en débarrasser. Ce serait un peu difficile – ils étaient trois et tu étais seule – mais tu allais y arriver. L'adrénaline te forçait à te mouvoir rapidement et souplement ; ne pas t'arrêter, continuer à frapper, respirer, te battre. Tu pris quelques coups, certes, mais cela ne te perturba plus que cela ; tu auras, demain au réveil, plus d’hématomes que ce que tu avais initialement prévu. Rien de bien important en soi, rien qui ne méritait que tu t'attardes sur cela. Alors tu ne lâchais pas. Absolument rien.

Tu allais venir à bout des deux hommes qui ne te lâchaient pas d'une semelle lorsque tu entendis quelque chose d'étrange à l'entrée de la ruelle. Un homme que tu n'avais jamais vu auparavant se rua sur le troisième, armé de sacs plastiques et rien de plus. Il lança son premier sac au visage de l'autre et sortit une bouteille de son autre sac, arrosant son adversaire pour le surprendre. Bouche-bée, tu ne vis pas le prochain coup venir ; un poing dans ton estomac. Déstabilisée, tu fis un pas en arrière avant de te reprendre, te déchaînant sur le premier homme que tu mis rapidement à terre. Le choc fut tel qu'il ne se releva pas. Tu ne laissas pas le temps à l'autre de réagir, tes doigts jouant avec les contours de ta montre, envoyant une aiguille soporifique dans la nuque de l'autre malabar. Tu te retournas alors vers l'inconnu qui avait mis le troisième au tapis, ses sacs de course abandonnés sur le pavé de la rue. Il se releva lentement, grognant. « Voilà pourquoi je ne sors plus… » Tu eus envie de ricaner, mais tu te retins, te mordant l'intérieur des joues. Tu te sentais soudainement fatiguée. Très fatiguée. Tu secouas la tête doucement, avant d'envoyer un regard noir à l'homme qui s'était lancé dans la bagarre sans réfléchir, sans évaluer les potentiels dangers avant. Tu serras les dents avant de te détourner de lui, touchant du bout de ta chaussure le corps inconscient de l'un de tes adversaires. Ce dernier ne réagit pas.
« Eh bien peut-être que tu aurais dû rester chez toi. » Tu avais jeté la politesse dans la première poubelle que tu avais passé, tu avais été bien plus sèche que ce que tu avais voulu à la base. Mais tu n'en avais que faire, dans le fond. Tu sentais la colère – sourde, violente – monter en toi. Ne voulant pas t'en prendre injustement à l'homme qui devait être empli de bonnes intentions malgré tout, tu te concentras sur les corps inanimés à tes pieds. Tu les fouillas, t'emparant de leurs armes et les dissimulant rapidement dans les diverses poches de ta veste. Mais cela ne marcha qu'un temps ; alors que tu t'approchais du troisième corps immobile, tu poussas l'homme d'un coup d'épaule brutale avant de te pencher pour le fouiller. Puis tu te redressas et fusillas de nouveau l'inconnu. « De l'eau ... commenças-tu, incrédule. Sérieusement ? Tu t'es cru dans un mauvais film d'action américain ou quoi ? » Tu secouas la tête, comme si tu réprimandais un enfant en bas âge.
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