Abby> Le meilleur moyen de réaliser l’impossible est de croire que c’est possible.

Ici c'est la partie histoire. C'est un peu carte blanche au niveau de la mise en forme, tant qu'il y a une vingtaine de lignes, c'est tout ce qui compte.
Abby est née dans une famille, où le père était parti bien avant sa naissance. Sa mère resta seule pendant de nombreuses années. Tout commença dans les quartiers de Soho, dans un tout petit appartement au sixième étage d’un grand bâtiment. Sa mère, infirmière faisait des heures sup’ la nuit afin de joindre les deux bouts. Abigaël était une petite fille douce et assidue à l’école. La petite fille faisait son possible pour ne pas inquiéter sa mère. Mais Abby était heureuse. Elle aimait cette simplicité de vie et son lien si indestructible avec sa mère. Le matin, Abby allait dans le lit de sa mère, pour pouvoir passer du temps avec elle avant qu’elle reparte au travail. La petite brune fut autonome très tôt. Il faut dire qu’elle n’avait pas vraiment le choix…

Mais un jour, sa mère rencontra un homme. Rosa tomba amoureuse de l’un de ses patients. Mais il n’était pas un simple patient. C’était un le riche Oliver Rosenfeld, patron d’un laboratoire pharmaceutique connu mondialement. À partir de cet instant, tout changea dans la vie de la petite fille. Oliver adopta Abigaël qui n’avait que sept ans. Mais, quelque chose clochait chez lui, à vrai dire, Abby ne l’aimait pas. Elle qui avait toujours rêvé d’un père parfait, il était loin de l’être. Peu de temps après le mariage de Rosa et Oliver, la famille prit un logement à Notting Hill. L’un des quartiers les plus huppés de Londres. Abby dus quitter sa petite école publique pour aller à son grand malheur dans une école prestigieuse. Ses amis, sa petite vie bien tranquille, tout lui manquait.

Cuius acerbitati uxor grave accesserat incentivum, germanitate Augusti turgida supra modum, quam Hannibaliano regi fratris filio antehac Constantinus iunxerat pater, Megaera quaedam mortalis, inflammatrix saevientis adsidua, humani cruoris avida nihil mitius quam maritus; qui paulatim eruditiores facti processu temporis ad nocendum per clandestinos versutosque rumigerulos conpertis leviter addere quaedam male suetos falsa et placentia sibi discentes, adfectati regni vel artium nefandarum calumnias insontibus adfligebant.