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| adeline hazel callahan we are the heroes of our time but we're dancing with the demons in our minds identity cardnom(s) callahan. prénom(s) adeline hazel. surnom(s) addy, haze. âge 25 ans. date et lieu de naissance le 15 mai 1990 à brooklyn, ny. orientation sexuelle hétérosexuelle. statut civil célibataire. occupation recrue dans la City of London Police. statut financier normal. pouvoir sectumsempra. De ses mains surgissent des salves d'énergies violentes et acérées, comme d'infimes petites lames qui découpent tout sur leur passage. Si elle se contrôle le moindrement, elle n'abimera que très peu. Si elle se déchaîne, elle vous arrachera la moindre parcelle de peau, de chair et d'organe. Malheureusement, cette dite énergie n'est pas infinie, et donc, Hazel se retrouve souvent exténuée après seulement deux ou trois utilisations. Ainsi, elle apprend encore à apprivoiser ce don. caractère empathique, rêveuse, dévouée, mature, aventureuse, réservée, solitaire, tendances antisociales, critique (surtout d’elle-même), parfois colérique. some important things to know 01. La jeune femme déteste son premier prénom. Il sonne trop … étrange, et vieux. Elle préfère donc qu’on l’appelle par son deuxième prénom, Hazel. 02. Elle n’aime pas arriver en retard, donc elle vérifier toujours son réveille-matin au moins 5 fois avant de se coucher. 03. Comme toute personne qui se tienne, Hazel a des péchés mignons. Elle doit toujours avoir du chocolat à la maison et un café le matin quand elle part pour le boulot. 04. Dès qu’elle ressent du stress ou encore de la peine, la jeune femme se réfugie dans l’alcool. 05. Depuis qu’elle s’est décidée à devenir policière, elle s’entraîne sur une base régulière. Il n’est donc pas étonnant de la voir au gym en matinée et en soirée. 06. Lorsque son supérieur la réprimande, elle revient souvent enrage à la maison. Elle a dû mal avec les critiques. 07. Il n’est pas impressionnant de savoir que Hazel a une certaine routine qu’elle aime beaucoup suivre. Entre autre, le matin, elle aime beaucoup se lever un peu plus tôt pour faire un peu de jogging, avant de revenir, prendre un bon bain, et siroter son café en regardant la télé. 08. Ses tendances tomboy à l’adolescence se reflètent encore à ses 25 ans, puisqu’elle s’habille d’une manière un peu moins … chic et sexy. Elle préfère se sentir bien dans ses vêtements. 09. Question de garder ses émotions sous contrôle, afin que son pouvoir n’apparaisse pas à chaque mauvaise remarque, elle s’essaie au yoga. 10. La musique est ce qui permet à Hazel de garder le sourire, lorsque les journées sont grises. Rien de mieux que du bon vieux rock pour oublier nos problèmes.
the interviewLa journée du 18 mai 2013 a dû être gravée dans ta mémoire, non ? Elle doit être vraiment spéciale, tu peux me dire ce qui s'est passé pour toi ? Cette foutue journée. Vous savez, je n’étais même pas supposée être là où je me trouvais. Quelle idée, aussi, de me proposer pour aider dans cette compétition sportive entre écoles! Je ne faisais que mon travail, vous savez. J’ai d’abord aidé à placer les diverses tables, puis à organiser l’arrivée des autobus. Mais ce fut pendant que je distribuais de l’eau à des athlètes en sueur que j’ai entendu un bruit sourd. Après ça, je qualifie le tout d’apocalypse, car les images qui me sont restés encrés ne sont que sporadiques et très … effrayantes. Les cris des élèves, moi qui survole le gazon avant de m’écraser plus loin. Bref, cette journée va rester gravée dans ma mémoire, c’est sûr et certain. Comment tu as compris que tu avais des pouvoirs ? Et surtout quelle était ta réaction ? Je l’ai appris alors que j’essayais de me défendre contre un violeur recherché par la police. Vous auriez dû voir mon visage, quand j’ouvris les yeux et que je le vis, par terre, du sang partout et des traces bizarres sur le corps. Plus blanche que la neige, je vous dis! Ma deuxième réaction, et celle que j’ai encore aujourd’hui, c’est celle du rejet. Lorsque je compris ce dont j’étais capable, je refusais de m’accepter. Je préférais voir l’ancienne Hazel, pas la nouvelle. Je refoule donc cette partie de moi. Cela ne veut toutefois pas dire que, de temps à autre, je l’utilise pour le bien … pour la protection … pour les forces de l’ordre, mais sans qu’on le sache. D'ailleurs en parlant de pouvoir, tu peux me parler du tien ? Il doit être intéressant, tu dois te sentir puissant, mais il doit bien y avoir une petite faiblesse, non ? Sectumsempra, c’est un mot que j’ai trouvé dans un vieux livre de ma mère et que j’ai trouvé faisait mystérieux. En fait, c’est simplement parce que je trouve que mon don est vraiment étrange, et c’est le mot qui lui collait le plus. Je dois dire que malgré sa puissance, je me sens surtout comme … comme un monstre. Je ne veux pas l’utiliser, sauf en cas d’urgence. Il faut dire que puisque je ne suis pas capable de rester sur mes deux pieds après deux utilisations, je préfère ne pas y faire appel. Non mais quoi, quand on perd connaissance en essayant de se protéger, ça sert à rien. En plus, ça me donne des migraines pendant les jours à suivre. Comment tu vis ta situation de ''méta-humain" ? Tes proches ont connaissance de ta situation ? Et puis t'en pense quoi de la politique de ce S.H.I.E.L.D par rapport aux méta-humains ? Ma situation de quoi? C’est quoi ce mot? Si c’est de mon don, bah je ne la vis pas, c’est tout. Ma mère n’en sait rien, elle croit que j’ai simplement des cauchemars et des crises d’angoisses dues à l’accident, mais sans plus. Quant à la politique du S.H.I.E.L.D, je préfère passer inaperçue, donc je fais comme si je ne savais rien du tout. Quel incident? Le 13 mai? Ha non, j’étais en France. De toute manière, je suis déjà dans les forces de l’ordre, qu’est-ce que le S.H.I.E.L.D peut m’apporter de plus? behind the screenpseudo, prénom dumbass*angel, Vanessa. âge. 23 ans. région, pays Canada. comment as-tu connus le forum facebook, il me semble. tes impressions sur le forum il est vraiment classe le mot de la fin kawabunga. - Code:
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<pris>Katie Cassidy</pris> ; <a href="URLPROFIL">A. Hazel Callahan</a> all the stories are true once upon a time there was a beautiful girl named adeline Ici c'est la partie histoire. C'est un peu carte blanche au niveau de la mise en forme, tant qu'il y a une vingtaine de lignes, c'est tout ce qui compte.Je ne commencerais pas mon histoire avec mon enfance, malgré le titre assez indicateur. Je n’ai que de bons souvenirs de mes jeunes années, même si ceux-ci sont probablement banaux aux yeux de tous, et je les garde précieusement. Toutefois, lorsque j’atteignis mes seize ans, tout bascula. Mon père, qui était un policier respecté de New-York, a sauvé bien des vies, et était un homme aimé de sa communauté. Ce fut donc un choc que d’apprendre que, pendant une attaque dans la banque de Brooklyn, il tomba sous le nombre de balles que les voleurs présents tirèrent sur les forces de l’ordre. Lorsqu’on apprit de sa mort, ma mère ne savait plus quoi faire avec sa vie. Mes parents avaient, après tout, toujours cette flamme romantique qui les habitait, et ils prenaient toute décision en couple. Moi qui avais toujours vécu pour les nombreuses aventures que mon père me racontait, je me retrouvais maintenant sans mon guide, celui qui arrivait toujours à me faire sourire. Qu’allais-je devenir? Je ne pus vraiment me mettre à réfléchir qu’après la cérémonie et les maigres condoléances, moments que je souhaitais oublier plus que tout. Sans cette figure inspirante dans ma vie, il ne me restait plus que ma mère, devenue l’ombre d’elle-même, à compter l’argent qu’il restait et essayer de payer les factures sans les conseils de celui pour qui elle avait tant d’amour. Je perdais, à chaque jour qui passait, de plus en plus la confiance qui m’habitait. On aurait dit un zombie qui part pour les cours et revient à la maison. Une pièce indispensable du puzzle manquait à notre famille. Cette impression perdura pendant encore plus deux ans. Entre temps, j’eus le temps de penser à mon futur, à ce que je voulais devenir. Bien qu’au début, j’espérais devenir professeure, je n’avais plus tellement l’envie d’enseigner. C’était l’emploi de rêve de mon père, pas le mien. Puis, je me mis à penser. Pourquoi ne pas lui faire honneur? Après tout, il m’avait toujours dis que j’aurais une place dans la police, vu mon caractère fougueux et ma perspicacité. Oui. Je porterais avec fierté son nom de famille, et la communauté aura un nouveau Callahan. Ma mère, il va sans dire, n’aima pas du tout l’idée. Elle me sortit, bien sûr, la réplique « veux-tu vraiment mourir comme ton père? » Ça me tordit le cœur car non, je ne voulais pas … je ne voulais pas la laisser seule. Mais je n’avais plus le cœur à l’enseignement. Je souhaitais tourner la page, sans pour autant oublier le passé. De son côté, celle que je n’appelais plus ‘maman’ depuis très longtemps fut capable de faire son deuil en un an et demi, puis se remit à parler avec ses amis et les voisins. Elle avait le sourire collé aux lèvres, mais je n’y prenais pas tellement attention. J’aurais peut-être dû, maintenant que j’y pense, car, à mes vingt ans, alors que je me retrouvais en plein milieu de mes cours, ma mère m’apprit qu’on allait quitter le beau soleil de New York pour les nuages gris de l’Angleterre. En effet, depuis plusieurs semaines, elle discutait avec un ami d’enfance avec qui elle s’était toujours bien entendu. Celui-ci était disposé à lui trouver un bon emploi là-bas, et nous héberger jusqu’à ce qu’on puisse être monétairement stable pour trouver un petit nid douillet. Ma réaction n’a pas été des plus aimables, car j’étais complètement sous le choc. Comment avait-elle pu me cacher ces conversations? Elle savait très bien que j’étudiais comme une acharnée pour en finir avec mon certificat et ainsi commencer le bénévolat avant de m’engager dans la police. Ce n’était plus une question de changer de ville … mais de pays. Quitter ce recoin de Brooklyn que je connaissais si bien pour me perdre en Europe. Malheureusement, c’était elle qui me payait mes études. Je ne bronchais donc pas, préférant la suivre plutôt que de rester derrière et risquer d’arrêter mes études afin de travailler. Pourquoi l’Angleterre? C’est bien l’une des premières questions qui me sortirent de la bouche. Je ne comprenais fichtrement rien, à ces anglais! Leurs expressions sont … étranges et leur accent, bonté divine, leur accent! On aurait dit qu’ils parlaient chinois! Je vous épargne les détails, mais je vous le dit, je crois cela me prit plus d’un an avant de comprendre ce que mon interlocuteur me disait. De plus, dans mes cours, j’avais beaucoup de difficulté à rattraper le retard créé par mon immigration. Vous pouvez facilement deviner que j’ai passé bien des nuits à réviser et à écouter des films anglais. Heureusement, avec le temps, je m’adaptais à ce nouvel environnement qui, au final, n’était pas si mal que ça. C’est sûr qu’au niveau température, New York me manquait. Par contre, je commençais à me plaire dans cette ambiance plus … européenne. Je me surpris même à faire la discussion à certains collègues de classe. Bref, tout reprenais son cours et ma vie, elle, avait de nouveau sens à mes yeux. Toutefois, lors de mes vingt-trois ans, tout changea. Pour être plus précise, ce fut le samedi 18 mai 2013. Je venais à peine de célébrer mon anniversaire et cette journée-là, je faisais du bénévolat dans un évènement sportif. Alors que je distribuais des bouteilles d’eau aux athlètes non loin, on entendit un bruit sourd. Tout le monde s’arrêta. On cherchait la source de ce retentissement. Bientôt, une vague étrange de lumière et puis ce fut comme si le monde éclata. Sans vraiment comprendre comment, je me sentis projeter au sol, à au moins 30 mètres de là où j’étais, puis je perdis tout contact avec la réalité. Selon ma mère, je fus dans le coma pendant presque trois mois. La pauvre ne savait pas quoi faire car elle croyait m’avoir perdu. J’étais cependant une battante, et c’est, je crois, ce qui m’a sauvé de la mort. Ma réhabilitation ne fut pas de longue durée, mais je pris bien vite conscience que je n’étais plus la Hazel qui avait participé à sa session obligatoire de bénévolat. En effet, une nuit, alors que j’accompagnais un groupe d’ami à un bar en plein milieu de la ville, je me retrouvais seule, dans une ruelle, à essayer d’appeler ma mère pour qu’elle ne s’inquiète pas. Je n’entrevis pas l’arrivée d’un homme qui m’attrapa par la gorge et me traîna jusqu’au fond de cette dite ruelle. Il avait en tête de me violer, car couteau à la main, il m’ordonna de défaire ma blouse. Je compris alors que les corps de femmes retrouvés mutilés depuis quelques temps étaient très probablement les siennes. J’allais être la prochaine sur sa liste, on dirait bien. L’homme, visiblement pressé, n’attendit pas que j’exécute ses ordres. Il empoigna mon haut et l’arracha. C’est à ce moment que je plaçais mes mains devant moi, voulant l’écarter de mon corps. Je criais et, au même moment, sentis comme une vague d’énergie se déplacer jusque dans mes mains. Puis, sans vraiment comprendre pourquoi, ce monstre se mit à hurler avant de tomber par terre. J’étais sans mots, car pendant un instant, je croyais qu’il allait m’asséner son coup de grâce. Malgré tout, lorsque j’ouvris les yeux, je le vis sur le sol … plein de … traces étranges sur le corps. Comme si on l’aurait tué à coups de couteaux. Encore sous le choc, je me déplaçais jusqu’au bar, mais je ne fis pas long feu. Juste en arrivant à la porte, je perdis connaissance. Je me réveillais quelques heures plus tard chez moi, toujours perplexe quant à l’incident. À partir de cette soirée horrible, je me mis à analyser ce qui pouvait bien s’être passé. J’ai tenté reproduire l’évènement, mais rien ne se produisit. Ce ne fut que lorsque je plaçais mes mains dans la même position et que je me concentrais sur l’énergie que j’avais senti que je pus enfin avoir réponse à ma question. En moins de quelques minutes, mes coussins de lits furent complètement détruits. Bien sûr, je me rendis compte qu’en exécutant cette action, je me retrouvais démunie d’énergie ou presque. Je ne pouvais donc pas l’utiliser à chaque instant. Qu’est-ce que j’en fis, de cette découverte? Rien. Je n’en ai pas encore parlé à ma mère, car je préfère la protéger. Je ne sais pas comment expliquer cette … capacité, et je ne me sens pas prête à affronter ses questions. Ainsi, j’essaie de vivre au jour le jour, mais avec un poids sur mes épaules que je préfère porter seule. Ce qui ne veut toutefois pas dire que je ne l’ai pas déjà utiliser dans un ou deux … bon d’accord, dans quelques cas d’homicide grave. Je suis une recrue dans la police, après tout. Il faut bien faire régner l’ordre, et si ce n’est pas de la manière douce, ça sera de la manière forte. Pourvu que personne n’ouvre les dossiers dans lesquels ces attaques se sont produites, parce que sinon, je suis cuite!
Dernière édition par A. Hazel Callahan le Dim 14 Juin - 3:30, édité 8 fois |
| | | arrivé(e) à londres le : 21/05/2015
messages : 134
position au s.h.i.e.l.d : agent de terrain de niveau cinq
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| GOD SOMERHALDER!
fan de spn? C'est une de mes séries favorites, je dois l'avouer >< Et Katie était vraiment badass! merci beaucoup et je n'hésiterais pas |
| | | arrivé(e) à londres le : 21/05/2015
messages : 190
pouvoir : génération d'ondes sismiques
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| plus que fan même, une vraie groupie. j'attends la saison 11 avec impatiente. hâte de voir ce que tu vas faire de katie en méta. |
| | | arrivé(e) à londres le : 06/06/2015
messages : 273
pseudo chez les kingsman : Galahad
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| Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche et au plaisir de te croiser sur le fow *Laisse des cookies et disparaît derrière son parapluie magique* |
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| Merci beaucoup Sloane!
*j'imagine si facilement la scène avec le parapluie, ça doit être à cause de la fatigue* |
| | | arrivé(e) à londres le : 25/04/2015
messages : 159
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| Katie !!!: wow: super choix ! Bienvenue !! |
| | | arrivé(e) à londres le : 02/04/2015
messages : 177
pouvoir : illusion, elle rentre dans votre tête pour y mettre les images qu'elle souhaite
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| Bonne chance ! J'ai hâte d'en lire plus Le début s'annonce déjà prometteur |
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| SAM! Merci beaucoup ^^ J'espère que ma Hazel ne décevra pas, en tout cas ><
J'avance petit à petit, je travaille déjà sur l'histoire afin de mieux répondre aux questions de l'interview |
| | | arrivé(e) à londres le : 09/03/2014
messages : 750
pseudo chez les kingsman : Perceval
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| félicitation, tu es validé(e) j'aime beaucoup ta fiche! il nous faudra un lien avec ma juju
Félicitation, tu as terminé la première étape. A présent, tu es libre de vagabonder dans le forum. Tu peux à présent crée des scénarios ou alors d' autres liens pour ton personnage. Tu peux aller aussi à créer ta fiche de lien pour que ton personnage se sociabilise un peu. Si tu veux rp, mais tu ne trouves pas de partenaire ? Viens un peu là, ça va s'arranger. Viens aussi faire ta demande de logement, parce que ton personnage ne doit pas être sans abri, mais aussi recenser ton métier. Pour les kingsman, il est important de venir ici et pour les agents du S.H.I.E.L.D, c'est par là. Quant aux méta-humains, il faut passer par le recensement de leur don. Oh, et puis il ne faut pas oublier de s'amuser un peu. |
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